Arnaques aux médicaments, 4 mensonges très rentables pour les pharmas

Mensonges aux médicaments

Le monde médical n’échappe pas aux mensonges, les articles sur les arnaques aux médocs se multiplient ici comme partout ailleurs

Voici le résumé d’un article qui circule depuis peu sur le Net, à vous de vous faire votre propre opinion des faits.
Arnaques inventées par l’industrie Mafia-ceutique qui ne fonctionne que grâce à la complicité active des autorités sanitaires. Les médecins, eux, participent au génocide sans le savoir.

La chimio qui accélère votre cancer

Deux médicaments de chimiothérapie couramment utilisés pour le traitement des cancers  favorisent le développement des tumeurs cancéreuses. Ces deux médicaments sont le 5-fluorouracile et la gemcitabine utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas.
Plus vous prenez de ces médicaments, plus votre tumeur est irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Tout ceci est écrit noir sur blanc sur le site de l’Inserm.
Au lieu de supprimer un médicament, ils préfèrent en donner un deuxième pour compenser les effets négatifs du premier. Ou « comment fournir de nouveaux revenus à l’industrie pharmaceutique ».

Maladies inventées par les labos

Le meilleur métier c’est d’être Dermato: il n’y a jamais d’urgence, les clients ne meurent pas, et ils ne guérissent jamais.

Cette plaisanterie de carabin a bien été comprise par les laboratoires : plutôt que de courir après la pilule miracle qui guérit les patients, et donc ne sert qu’une fois, mieux vaut mettre sur le marché des médicaments que les patients consommeront toute leur vie.
D’où l’invention d’un nouveau genre de médicaments, ceux qu’on prend « au cas où », pour retarder un processus clinique dont on ne connaît absolument pas l’échéance.
Un exemple : Alzheimer. Il existe quelques médicaments par ailleurs très onéreux, qui sont supposés ralentir l’évolution de la maladie. Des essais contre placebo ont montré que l’efficacité est quasi nulle (quelques % de constatations favorables en plus dans le groupe traité).

En revanche, les effets secondaires sont, eux, bien mesurables. Faut-il alors arrêter ces traitements ?
Surtout pas, s’exclament les neurologues, car « même si le médicament en lui-même est de peu d’efficacité, le simple fait de le prendre et de consulter mensuellement constitue un recours psychique qui améliore les patients ». On ne saurait définir mieux un effet placebo qui coûte 2500 euros par an à la Sécu…
Autre exemple : le dépistage « du cancer » de la prostate, alors qu’il s’agit d’un adénome qui, avec l’âge, peut devenir cancéreux, et le deviendra chez la quasi-totalité des hommes après 80 ans sans pour autant menacer leur vie.
Il en est de même pour le vaccin HPV contre le papillomavirus, et pour les mammographies généralisées, dont la dangerosité commence enfin à être reconnue, très timidement toutefois, par la presse officielle.

Baisser les normes d’alerte

Quand les symptômes sont insuffisants ou inexistants, il suffit de fixer des normes biologiques d’alerte afin de créer des millions de patients prétendument en danger. Ces « normes » discutables sont d’ailleurs régulièrement revues, au grand dam des médecins prescripteurs qui ne savent plus sur quel pied danser.

C’est le cas du cholestérol, dont plus personne ne sait au juste quel est le taux réel à partir duquel il serait problématique, en dépit de l’invention d’une savante (et trompeuse) distinction entre « bon » et « mauvais » cholestérol.
Et que dire de la multiplication des prescriptions médicamenteuses en psychiatrie [3], directement liée à l’augmentation fulgurante de nouveaux « troubles » ou « syndromes » qui n’existaient pas il y a seulement 20 ans ?

Avandia : Une catastrophe programmée

Un autre scandale médical gigantesque avec 83 000 crises cardiaques ou décès sur des diabétiques traités avec l’Avandia.
2006, une fois l’autorisation de mise sur le marché obtenue, le labo lance l’Avandia et les prescriptions s’envolent. Avec, dans le milieu médical, un questionnement lancinant qui s’installe : est-ce bien normal que les diabétiques traités voient leur taux de « mauvais cholestérol » s’envoler ? Chez les cardiaques, ce serait pour le moins une contre-indication.
Même au sein du labo, des responsables se posent des questions. De même qu’à la FDA, l’organisme de contrôle américain, qui demande à GSK de lancer une étude sur le sujet. Le labo s’exécute, mais remet en avant des études qui sont en fait faussées, car les patients cardiaques, donc ceux qui pouvaient présenter des troubles mesurables, étaient exclus de l’étude…
En France, plus de 200 000 diabétiques ont pris de l’Avandia pendant deux à trois ans, dans un parfait mutisme d’une presse pas encore traumatisée par l’affaire Médiator.

Conclusion

Dans la jungle des médicaments, mieux vaut ne pas… tomber malade.
Un mode de vie sain, une bonne alimentation, la prise bien informée de compléments alimentaires de qualité, des activités relaxantes et un bon moral sont une nécessité pour limiter au maximum le risque d’être un jour victime des mille et un abus des laboratoires pharmaceutiques, et de tous ceux qui vivent de la maladie des autres.
Consultez l’article complet sur : santenatureinnovation.com

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