L’épilepsie – Définition, causes et traitement naturel

Traitement naturel contre l'épilepsie

Causes et traitement naturel contre l’épilepsie

L’épilepsie n’est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d’un dérangement de la fonction cérébrale  causé par différents processus pathologiques.

Le bon coin santé rappel que les personnes atteintes ont moins de crises lorsqu’elles mènent une vie saine et active, regardons tout ceci d’un peu plus près.

Définition de l’épilepsie

La crise se caractérise principalement par des convulsions subites. La personne atteinte peut tomber par terre et éprouver des contractions musculaires spasmodiques.

A l’intérieur du cerveau, des millions de signaux à composantes électriques et chimiques sont transmis à partir de ses cellules nerveuses vers les autres parties du corps. Ces messages électrochimiques sont nécessaires pour presque tout ce que nous faisons et ressentons. Les convulsions sont des décharges anormalement élevées d’activité électrique qui surviennent soudainement dans un grand nombre de cellules nerveuses du cerveau. Elles peuvent entraîner la transmission involontaire de signaux anormalement puissants dans les muscles du corps.

L’épilepsie est l’un des troubles les plus courants du système nerveux central. Il apparaît avant l’âge de 25 ans chez 1 personne sur 100. Un autre 2 % de la population deviendra épileptique entre les âges de 25 et 75 ans.

Quelles sont les causes ?

L’épilepsie qui apparaît à l’âge adulte est souvent le symptôme d’une atteinte localisée, comme une mauvaise irrigation sanguine du cerveau, une tumeur cérébrale ou une blessure antérieure à la tête. Chez les enfants, l’épilepsie peut être provoquée par une méningite pendant la première enfance, mais ce trouble est le plus souvent héréditaire.

Symptômes et Complications

Avant une crise, de nombreuses personnes ressentent un signal avertisseur, appelé aura, pouvant être une odeur, une sensation particulière ou un effet visuel. Après la crise, la personne peut être confuse, se sentir fatiguée ou somnolente, éprouver des douleurs musculaires et ne pas se rappeler ce qui est arrivé.

L’épilepsie entraîne un certain nombre de complications au niveau des organes reproductifs et sexuels, lesquelles ne sont pas très bien connues. Près d’un tiers des hommes épileptiques souffrent de dysfonction érectile et de nombreuses femmes épileptiques se plaignent d’une sécheresse vaginale, de contractions douloureuses durant les relations sexuelles ou d’une libido réduite. Ces troubles sont particulièrement fréquents chez les personnes qui souffrent de crises partielles complexes dont l’origine se situe dans le lobe temporel du cerveau.

Traitement et Prévention contre les crises

Dans la plupart des cas, des médicaments anticonvulsifs permettent d’éliminer ou de réduire la fréquence des crises. Ces médicaments se présentent sous plusieurs formes et ils ne sont pas efficaces chez tous les patients. La carbamazépine, la lamotrigine, la phénytoïne, le topiramate et l’acide valproïque sont des exemples de médicaments anticonvulsivants. Le médecin doit parfois en essayer quelques-uns afin de déterminer celui qui convient le mieux à un patient donné.

Malheureusement, de nombreux médicaments anticonvulsifs produisent des effets secondaires. Certains peuvent ralentir les fonctions mentales, provoquer une croissance de la pilosité du visage et même donner un aspect inexpressif au visage. Ils peuvent aussi réduire l’efficacité des contraceptifs oraux ou causer des malformations à la naissance.

Lorsque la personne n’a pas subi de crise pendant un an, le médecin peut recommander de cesser progressivement la prise du médicament. Dans deux cas sur trois, les crises ne réapparaissent jamais.

L’activité physique est bénéfique

Les personnes épileptiques doivent évidemment prendre des précautions additionnelles pour éviter les accidents, par exemple de se baigner sans surveillance, d’utiliser des appareillages lourds ou de grimper sur une échelle.

S’il est impossible de prévenir l’apparition de l’épilepsie, il est parfois possible de réduire la fréquence des crises en évitant de s’exposer autant que possible aux facteurs qui déclenchent leur apparition. Toutefois, il semble que la majorité des personnes atteintes ne peuvent relier leurs crises à des événements particuliers.

Déclencheurs les plus fréquents

  • Émotions fortes
  • Exercice physique intense
  • Musique forte
  • Lumières clignotantes (jeux vidéo, éclairage des discothèques, phares, etc.)

Autres déclencheurs possibles

  • Stress
  • Fièvre
  • Période menstruelle
  • Manque de sommeil

Avoir un mode de vie sain est un complément important aux traitements médicaux pour mieux contrôler les crises.

Voici quelques conseils de base.

  • Avoir une alimentation saine et équilibrée et prendre des repas à des heures régulières. (voir nos conseils pour bien manger)
  • Limiter la consommation d’alcool qui peut interagir avec certains médicaments anticonvulsivants et réduire leur efficacité.
  • Éliminer les stimulants : tabac, café, thé, boissons contenant de la caféine (cola, boissons énergisantes), chocolat.
  • La consommation de drogues et fortement déconseillée.

Avertissement: Aucune approche complémentaire ne peut remplacer les traitements médicaux classiques contre l’épilepsie. Certaines peuvent néanmoins agir en complément, entre autres en réduisant l’exposition au stress, manque de sommeil, intoxication au produits chimiques…Autant de facteurs qui peuvent déclencher des crises d’épilepsie.

Voici quelques produits naturels pour lutter efficacement contre certains éléments déclencheurs et limiter la consommation de médicaments causant des effets secondaires désastreux

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VEYRET Muriel

Bonjour,

Je suis épileptique depuis plus de 40 ans et je fais toute les sortes d’épilepsie, du petit mal jusqu’au haut mal (avec coma).
J’ai tenté d’arrêter mon traitement il y a deux ans. Résultat : crises pré-comateuses avec séjour en urgence à l’hôpital.
Je ne sens pas mes crises venir. J’ai seulement remarqué qu’elles venaient quand je me détendait, le soir. Jamais le jour, du moins pour le haut mal. Le petit mal arrive aussi dans la journée.
Je n’ai pas de souvenir de ma vie avant l’âge de 20 ans et j’ai de nombreux « trous » dans ma mémoire.
J’ai rencontré un paquet de charlots qui se disent tous spécialistes du cerveau. J’ai été maltraitée pendant 40 ans. Maintenant, je ne suis plus suivie par un neurologue. Je demande à un médecin de me faire une ordonnance et, pour avoir la paix, il me la reproduit. C’est tout ce que j’attends de lui.
Je prends mon Tégrétol et mon Gardénal et je me tiens éloignée de tous ces connards (je suis désolée mais il n’y a vraiment pas d’autres noms)
Merci pour votre blog
De la part d’un végétarienne bio depuis plus de 37 ans

Anonyme

Ne vous inquiétez pas mon frère moi je suis épileptique depuis 11 ans je me suis chez un médecin j’avais des pertes de mémoire je me souviens de rien et j’avais aussi des difficultés quand j’apprends mes leçons je retiens difficilement mais hmd je continue à prendre mon traitement et les crises ont diminué par rapport au début. On laisse la main à notre dieu nous, nous avons fait notre possible et le reste à lui le plus puissant

adelle

bonjour
j ai ma fille qui souffre d epilepsie depuis un an elle a 8 ans
cela s est produit juste aprés sa vaccinnation avec le méningitec en 2014
etes vous dans le meme cas
cordialement

enocq

bonjour, mon mari a 60 ans, épileptique depuis l’age de 28 ans, avec un lourd traitement. depuis il n’a plus fait de crise, mais se sent très fatigué et découragé.il a décidé de voir un autre neurologue pour avoir un autre avis, savoir s’il ne peut diminuer son traitement de cheval qu’il prend depuis tant d’année qui lui a augmenté son taux de gamma, cela me fait peur . merci de me lire, je ne sais a qui me confier.

Anonyme

Il faut chercher la cause peut être une forte fièvre, une méningite ou elle a reçu un coup par sa tête ou peut-être s’est héréditaires, et il faut l’a suivre chez un médecin plus vite possible pour qu’il l’a prend en charge elle est encore jeune il ne faut pas s’attendre trop

Chris

Bonjour,

Une petite réaction de ma part en étant moi même épileptique.

il existe 3 sortes de crises épileptiques, mais en aucune façon ces crises sont contrôlables et même ne se préviennent pas à l’avance, pas une personne épileptique ne ressent la même chose, et chaque cas est différent. Par exemple, il y en a qui peuvent les sentir venir d’autres non.

Pour ma part, je ne le sens pas venir. Et, les médecins me disaient que l’épilepsie n’est pas héréditaire.

Cela peut commencer à venir en tant que bébé en convulsion.

Une activité régulière oui et non, tout dépend ce que l’on fait en activité.

Ce n’est pas précisément que le stress qui provoque cela, tout est irrégulier dans le cerveau et il n’y a pas très longtemps que l’on en parle en tant que maladie.

Alors, une chose ou je ne suis pas tout à fait d’accord avec toi, même si l’on ne fait pas de crises de plus d’un an, ce n’est pas sure que les crises ne reviennent pas ou alors ce sont des crises accidentelles donc ponctuelles.

Tout ceci bien sur avec des suivis d’électro-encéphalogramme. Les médicaments les plus connus pour ce genre de maladie sont : la Depakine, le Tegretol, le Kepra etc….

Voila.

@+

Chris

lionel

Bonjour,

Mon épouse avait arrêté de faire des crises pendant plus de 5 ans, durant la petite enfance de nos enfants. On ne sait pas ce qu’il s’est passé mais sa maladie s’est mise de coté. Elles sont ensuite revenues.

Je pense qu’il faut arrêter de sortir des vérités sur les causes de cette maladie, on ne sait tout simplement rien …

Chaque personne gère sa maladie comme elle peut. Mon épouse avait pris un chien (un type spécial de berger allemand) qui la prévenait en cas de survenance d’une crise. Elle utilisait également des huiles essentielles fleurs de bach, et avait tout le temps sa fiolle de rivotril sur elle en case d’urgence, il y en avait une tous les deux mètres dans la maison au cas où.

Thierry Frey

Bonjour,

Merci pour cet article.

« Avoir un mode de vie sain est un complément important aux traitements médicaux pour mieux contrôler les crises. »

Je ne pense pas que les crises se contrôlent… bien que certaines personnes apprennent à sentir quand elles arrivent et à se préparer au mieux pour limiter les effets (c’est le cas de ma soeur, epileptique depuis l’âge de 2 ans).

Pour le reste, il est évident qu’une vie saine est un complément important pour tout le monde, pas seulement pour les épileptiques… Tout comme l’activité physique régulière d’ailleurs.

Cordialement,

Thierry Frey

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